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Bioénergie quantique et médecine fréquentielle
Bioénergie quantique et médecine fréquentielle sont mises en évidence par notre cerveau et nos neurones.
Ce dernier construit mathématiquement une réalité objective par l’interprétation de fréquences qui sont en dernier ressort des projections d’une autre dimension, d’un ordre d’existence plus profond situé par delà l’espace et le temps.
Le cerveau est un hologramme enveloppé dans un univers holographique.
Le monde objectif n’a pas d’existence, du moins pas celle que nous lui croyons.
Il n’y a « là » qu’un vaste océan d’ondes et de fréquences.
La réalité ne présente l’aspect concret que nous lui connaissons qu’après lecture et traitement par notre cerveau de ce « flou » holographique.
La frontière séparant esprit et matière pourrait correspondre au domaine des fréquences.
Echanges ondulatoires entre cellules nerveuses
L’hologramme intervient dans la nature ondulatoire des échanges entre cellules nerveuses (neurones).
Il est intéressant de noter que les hologrammes sont dotés d’une prodigieuse capacité de stockage de l’information.
Le cerveau a la capacité de convertir tous les souvenirs y compris ceux des compétences acquises comme par exemple la capacité d’écrire.
Cette conversion se fait dans un langage d’interférences sous forme d’ondes.
Un cerveau ainsi organisé est beaucoup plus souple et pourrait transférer les informations stockées.
C’est le même principe qu’un bon pianiste transposant une mélodie d’une clé à l’autre.
Le cerveau va mémoriser un visage, un objet, une scène en effectuant la conversion sous formes d’ondes.
Il a ainsi tout loisir d’examiner cet hologramme interne sous l’angle qui lui convient.
Précisons, qu’il n’est d’onde sans un minimum d’énergie.
Or, les physiciens ont découvert que chaque centimètre cube d’espace vide contient plus d’énergie que n’en contient toute la matière de l’univers connu !
Bioénergie quantique: Vision holistique ou fragmentée
À leur entrée dans le cerveau, les messages optiques sont remaniés par nos lobes temporaux.
C’est seulement après que notre cortex visuel en prend connaissance.
Il semble que moins de la moitié de ce que nous
« voyons » soit effectivement fondé sur des données captées par nos yeux.
Le reste provient de ce que nous nous attendons à voir.
Le réel dans sa globalité n’est pas autre chose qu’un espace de fréquences.
Notre cerveau s’y comporte comme une espèce de lentille convertissant ces fréquences en images, en ce monde des apparences que nous qualifions d’objectif.
La médecine observe les symptômes car elle porte un regard fragmenté sur le corps humain.
Notre tendance universelle à fragmenter le monde ne nous permet pas de tenir compte de l’interconnexion dynamique globale qui le nourrit.
C’est là l’origine de la plupart de nos problèmes, dans notre vie de tous les jours et dans notre univers social.
Pourtant, si on se place du point de vue de la lumière et de la médecine fréquentielle, on n’est plus restreint à une acquisition « point par point » de l’information (organe par organe).
On absorbe celle-ci par « vastes masses », un seul regard permet d’embrasser « des larges portions de l’espace et du temps ».
C’est la stratégie corrective que nous utilisons dans la méthode originale Naturoquantique.
Nous nous efforçons de comprendre toutes les voies de communications qui existent entre tous les systèmes corporels.
Tout est composé de « vibrations lumineuses d’intensités diverses ».
La conscience est pareillement constituée de vibrations.
Le corps-hologramme est un Champ Informationnel
Le corps est un hologramme, chacune de ses parties comportant en conséquence une image du tout.
De même qu’en chaque fragment d’un hologramme est contenue l’image entière, chaque partie du corps est susceptible de contenir celui-ci dans sa totalité.
Le couple esprit-corps est incapable de faire la distinction entre les hologrammes neuraux.
D’abord ceux dont le cerveau se sert pour appréhender la réalité.
Puis, ceux qu’il plaque sur cette dernière quand il ne fait que l’imaginer.
En réalité, le corps physique est pour ainsi dire le produit final de subtils champs d’information qui le modèlent comme ils modèlent toute matière physique.
Ces Champs informationnels sont des hologrammes qui se modifient dans le temps et sont hors de portée de nos sens ordinaires.
Le corps éthérique est une sorte de gabarit holographique sur lequel notre corps physique se moule pour croître et se développer.
Il en résulte que plus subtile est la couche où se manifeste une image, plus grande est sa capacité de guérir ou de remodeler le corps.
Par exemple, ma rate est un organe qui n’est pas spécialement associé à ma pensée en temps normal.
Pourtant, elle possède sa propre forme rudimentaire d’intelligence.
Ma rate dysfonctionnelle peut vouloir m’informer qu’elle a mal pris mon comportement agressif à son égard.
Chaque organe de notre corps a sa propre et unique forme d’activité mentale.
l’hypothèse d’un « corps-gabarit » fait écho à des recherches connexes qui voient dans le Champ énergétique humain un patron holographique.
Ce dernier dicterait au corps ses formes et structures.
Nous aurions affaire à une épure en trois dimensions, une armature sur laquelle se modèlerait le corps physique.
Bioénergie quantique et médecine fréquentielle: onde et particule
Quanta est le pluriel de quantum.
Un électron est un quantum. Plusieurs électrons forment un groupe de quanta.
Quantum est synonyme de particule ondulatoire.
Ce dernier terme se réfère à tout objet doté à la fois d’aspects corpusculaires et d’aspects ondulatoires.
La relation entre particule et onde quantique serait mieux décrite par la métaphore d’un navire en pilote automatique guidé par radar :
L’onde quantique ne pousse pas plus l’électron que l’onde radar ne pousse le navire.
Dans les deux cas, l’onde fournit sur l’environnement des données dont électron et navire se servent pour évoluer par leurs propres moyens.
Tout processus physique connu se manifeste à la fois sous forme d’ondes tout autant que de particules. Donc, rien n’interdit de penser que cette dualité soit extensible au psychisme.
Sous son aspect corpusculaire, la conscience serait alors localisée dans le cerveau.
Pourtant, elle pourrait comme n’importe quel phénomène ondulatoire influer sur des personnes ou objets lointains.
la conscience est l’agent par lequel une particule atomique comme l’électron peut surgir à l’existence.
Lors des séances de M2P Champ Informationnel, nous utilisons un des principes de base de la physique quantique.
Le postulat est que loin d’explorer un réel préexistant, nous participons à sa création.
Nous portons notre attention sur des niveaux de réalité subatomiques sans cesse plus profonds (niveaux où semblent résider les énergies subtiles de l’aura).
Ainsi, la nature consensuelle et de coparticipation du réel s’accentue.
Le monde des phénomènes n’étant guère plus qu’un « rêve de masse partagé », il est donc possible de s’extraire de cette matrice.
Bioénergie quantique et médecine fréquentielle : Le plasma
Un plasma est un gaz doté d’une haute densité d’électrons et d’ions positifs, atomes de charge positive.
Les électrons, dès qu’ils appartiennent à un plasma, cessent de se comporter comme des individus pour se conduire comme de simples éléments d’un tout plus vaste et interconnecté.
Ils donnent dans leurs déplacements individuels l’impression d’être erratiques.
Pourtant, ils sont capables, par vastes collections d’électrons, de produire des effets témoignant d’une organisation surprenante.
Le modèle holographique est perçu comme une voie d’accès au mécanisme par lequel la conscience interagit avec la grandeur ondulatoire, originelle et sensible, pour la convertir en données utilisables.
Si la conscience individuelle a ses propres structures d’onde, elle est comparable au laser d’une fréquence particulière entrant en résonance avec telle ou telle structure de l’hologramme cosmique.
Bioénergie quantique et médecine fréquentielle: La biorésonance
Les fréquences correctives écoutées lors d’une séance de biorésonance quantique vont stimuler préventivement notre réponse adaptative.
En effet, tout stress environnemental diminue la réponse de l’organisme aux agressions.
- Les personnes qui obtiennent des résultats élevés lors de tests destinés à mesurer leur agressivité ont 7 fois plus de chances de mourir d’une crise cardiaque que ceux dont les résultats se situent autour de la moyenne.
- Les femmes mariées et heureuses en ménage bénéficient d’un système immunitaire plus solide que celles qui sont séparées ou divorcées.
- Les personnes qui viennent de perdre leur conjoint enregistrent fréquemment une recrudescence de leurs petits et grands malaises.
- Les personnes à l’esprit combatif atteintes de pathologies graves résistent plus longtemps que celles dont l’attitude est passive.
- Les pessimistes sont plus exposés aux coups de froid que les optimistes et le stress diminue la réponse de l’organisme aux agressions
